Soufre

Quelques photos récupérées aujourd'hui du shooting avec Tommy Dollar et Dimitri Leprêtre.
Ambiance 40's Bordello décadent, alors maman, si tu passes par là, j'aime autant que tu zappes ce chapitre: tout va bien, ta fifille n'est pas en perdition! lol

Photos de Dimitri. (Est-il utile de préciser qu'il faut cliquer sur les vignettes pour voir les photos en grand?)

Childhood

Ben on retrouve des trucs, parfois, qu'on avait VRAIMENT oubliés!
Allez, oui, j'avoue: dans ma vie antérieure, j'étais blonde, j'avais un regard de Bambi dans les phares, et on me faisait porter des fringues improbables!
lol






Bah, ç'aurait pu être pire, j'aurais pu finir comme ça:



Krkrkrkr
(© Marieaunet!)

J-3

Je commence à salement flipper...

Boxes

A la recherche compulsive d'un fume cigarette ancien, je suis tombée récemment sur un site qui vend des boîtes pour clopes absolument merveilleuses, sur le thème des années folles.
Je ne sais pas si la finition est à la hauteur, mais le choix des photos m'a laissée toute rêveuse, si bien que je ne sais pas encore sur laquelle jeter mon dévolu!
Il y en a des tonnes, alors je me suis fait des albums.

Ce soir, voici les Orientales, avec la grande Theda Bara, en tête de peloton...













Cette dernière étant probablement ma préférée de cette série. Du Mucha en photo...

C'est beau...

Pauline Croze - T'es beau

Noël à Paris...

Juste de passage à Paris pour Noël, pas le temps (ni l'envie, faut bien avouer) de faire des plans sur la comète pour le réveillon.
Au programme: dîner et vieux films avec un pote, qui a assuré sa race en amenant des victuailles de luxe.
Et quand 2 amateurs de muet se font des cadeaux, ça donne un bon gros fou rire:



On s'est donc goinfrés devant "Le Dernier des Hommes".
Mon lecteur DVD merdoyant, on n'avait pas de son. Ce qui, pour un film muet, pourrait ne pas être un problème, me direz vous, mais sans la musique, c'est super moins bien. Quand même. :-)

Alors j'ai shooté Satie, Piano Works, et étonnamment, ça collait parfaitement aux images. Les accélérations, les accents, les changements de thème, on aurait dit que c'était prévu pour!

Aujourd'hui, jour de gueule de bois, ma meilleure amie vient en famille, avec mon filleul chéri (enfin: mon "glaïeul", parce que c'est un garçon!), notamment.
Ewen, ce lutin dont je suis "la Fée" et dont je suis juste dingue. Ce petit caramel qui me donne la notion de ce que ça fait, d'être aimée par un enfant. Et être aimée par celui là, en particulier, ce tout sensible aux yeux de 14 Juillet, c'est de l'or en barre. :-)

Alors pour eux, j'ai bricolé un sapin, avec une hotte pleine de cadeaux.





Goûter de Noël pour enfants sages (pour le moment!) :-)


Viennoiseries et chocolat chaud maison pour mon glaïeul qui en gardera le museau tout brun!


Cadeaux time...


Le Roitelet pour Ambre


La dame aux cheveux de feuille pour Lauren


Darwin et le Singe pour Julien, leur papa


Belle dame au chapeau et panoplie hivernale pour Anln, leur maman


Batman de Serge Ricco, album de Muse et figurine de Jack Skellinton pour Ewen (et oui: en tant que Fée marraine, je sème des graines dans son petit cerveau, pour voir si ça prend! Déjà, il joue de la batterie, c'est bon signe! lol)


Moi, j'ai eu de la "nourriture". Youpiii :-)


Et parce que je parlais plus haut de mon infinie tendresse pour ce môme, nous voici tous les 2


Et avec Lauren, petit bout de biscuit



Moralité: On parle parfois de "Famille de Sang" et de "Famille de Coeur", et en ce Noël parisien, l'évidence, c'est que le coeur fait circuler le sang. Ces gens sont ma famille, viscéralement.
:-)

Merry Xmas, everyone.

Noël à NYC

En me promenant sur le très réussi et délicat nouveau site de l'excelllllllllllllente Stella Polaris (cf blogroll), de lien en lien, je tombe sur cette page:

http://www.indecoroustaste.com/2009/12/windows-in-wonderland.html

Et je me dis: "Diiiiiingue, j'ai pris les mêmes vitrines en photo en revenant de l'expo de Burton!". Je ne les ai pas toutes photographiées (je courais), mais j'espère qu'elle resteront jusqu'en Janvier, car j'y retourne.
A New York, aux vitrines et à l'expo de Burton!

(Mathilde, Coraline, Stella et M, y a un GP au bout d'un fil de pêche, qui le chope? Je veux une lettre de motivation! lol)

Je n'ai jamais posté ces photos, j'avais oublié, bizarrement.

Les reflets de Vuitton et des boutiques de luxe dans les vitrines "squeaky clean" des Mises en Scène donnent des photos qui ne semblent pas pouvoir communiquer la mesure de l'émerveillement. (D'autant que mes photos de téléphone sont toujours assez pourries.)
C'était incroyable: des tableaux en 3D, sur le thème d'un Cabinet de Curiosités.


(Ces deux vitrines, l'une au dessus de l'autre exactement de cette façon. La scène du bas est toute petite.)

Des miniatures précises, des textures de fourrure, de velours épais, de laine, de bois poli...






Ou à l'inverse: des miroirs, des diamants, sur couleur argent



du noir et blanc graphique...




(j'ai pensé à toi et à ton manteau, Marie!)
Là, derrière, c'est une bibliothèque en colimaçon, en bois blond, de vieux livres, des mannequins articulés...

Pour ce genre de merveilles, Noël a du bon, notamment à New York.
On était assez nombreux à regarder ces vitrines, et bizarrement, un silence se faisait. Les adultes comme les enfants, touristes ou business women, on avait tous des étoiles dans les yeux, la bouche un peu bée de ravissement. Même le traffic assourdissant de Manhattan semblait se ouater légèrement.

Ca fait ça, le Beau. Faudrait pouvoir en donner à tout le monde.
Ces vitrines d'un temple de la consommation siglée, sur l'une des avenues les plus chics de l'une des villes les plus chics, offraient aux passants un moment enchanté, des morceaux de Beau. Gratos.
Curieux, quand on y pense.
Tant mieux.

Libreville, Gabon, Décembre 2009

Mon métier d'hôtesse de l'air, parfois, a VRAIMENT du bon!
En l'occurrence, quitter Paris sous la neige (avec 4h de retard, ok...!) pour arriver à Libreville, 30°C la nuit, ça n'a pas de prix.
J'adore cette escale. L'hôtel est un peu pourri, genre de déco africaine 70's, mais on y reste 2 nuits, ce qui laisse le temps de profiter un peu des alentours.
En général, on file passer la journée du lendemain sur une île en face, à se détendre sur la plage et déguster des poissons pêchés sous nos yeux, mais là, impossible de joindre "Moustache", le local qui nous emmène en pirogue. Alors la journée, c'était piscine à l'hôtel...



Parce que la plage, à cet endroit là est un peu crado. :-(



Mais je ne me plains pas: c'était tout de même assez idyllique...



Un gentil geiko m'a tenu compagnie une bonne partie de l'après midi (les geikos sont mes amis: ils mangent les saloperies de cafards énormes que l'on trouve sous ces latitudes, et ils font des pompes, ce qui est toujours marrant à observer!)





Evidemment, avec ma peau d'ex blonde, j'ai chopé des coups de soleil ridicules, confirmant le vieil adage: comme dans le poulet, chez moi, le meilleur, c'est le blanc! lol



Le soir, direction "Marie qui fait chaud (derrière la Mosquée! lol)", sorte de resto sauvage comme on les aime en Afrique, tables et chaises de jardin sous un toit en tôle, 4 tables à tout casser, éclairage au néon, mais repas de fou pour l'équivalent de 20€ (taxi compris!).

Au menu de ce soir (le même que d'habitude, immuable, mais qui vaut à lui seul les 6h d'avion):

Avocats locaux, énormes, fondants, crémeux presque, à déguster, pour les plus téméraires, avec une sauce au piment qui emporte la bouche!



Suivis de brochettes de poisson marinées et grillées, juste sublimes, accompagnées de riz à la tomate, de frites maison à se rouler par terre, et d'aloko (bananes plantain) à se damner...





Arrive alors ce pourquoi on vient tous là: les LANGOUSTES!!
Grillées, énormes, à volonté, un vrai truc de fou...
Je n'en ai mangé qu'une, mais qui faisait à peu près la taille de mon avant bras! Alien, genre!







Panne de courant!



Au dessert, pour calmer le jeu, ananas juteux, sucré, miamiamiam!



Notre hôtesse, Marie, une femme à poigne, comme on dit! Elle mène son petit monde à la baguette, faut pas la contrarier. :-)
En même temps, on n'en a aucune envie: en fin de repas, de la langouste jusqu'aux yeux, elle est juste notre déesse vivante, en boubou bariolé...
Merci, Marie, à bientôt.